Comme chaque année, samedi 1er mai, les socialistes rejoindront les cortèges organisés localement, dans le respect des gestes barrières.
Le 1er mai reste un temps de lutte pour les droits des salariés. Le moment de dénoncer la violence de la réforme de l’assurance chômage du gouvernement guidé par des motifs idéologiques et la volonté de faire payer la crise par ses victimes. En réalisant à la fois des économies budgétaires au détriment de l’indemnisation des chômeurs, mais également de faisant baisser artificiellement les statistiques du chômage, en durcissant les conditions de l’ouverture de droits ou en raccourcissant la durée de leur bénéfice.